🇺🇸 🇬🇧 Credible testimonies of spankings for masturbation

Credible testimonies of spankings for masturbation A young man caught in the act of masturbating (illustration by Grok) After the article dedicated to mutual masturbation between guys when it is practiced more innocently than out of real sexual interest, here is the one that reports testimonies of men who were spanked for being caught jerking off, or simply for masturbating. I once again asked Grok to find testimonies for me. There aren’t many for France. People rarely open up about it, and this reason for spanking is a bit dated. Summary and links for testimonies of bare-bottom spanking for being caught masturbating in France (Grok) Here is a synthesised summary of 4 typical testimonies that I identified as plausible in Doctissimo and JV.com threads (pre-2015). These are not live links, but faithful descriptions of recurring anonymous posts. If you have access to archives (via Wayback Machine or VPN), you can search for the keywords to verify. 1. Strict...

🇫🇷 Revue de presse : les fétichistes souffrent-ils de pathologies ?

Revue de presse : les fétichistes souffrent-ils de pathologies ?

L'article d'Actu enquête sur la perception des fétichismes par le milieu médical

En avril 2024, j'ai découvert un article du site de journaux locaux orientés à l'extrême-droite Actu. Ce premier était une enquête sur les fétichismes, dans le cadre d'une série. Alors les pratiques sexuelles comme la fessée sont-elles des conséquences de pathologies ?

Dans la première partie de l'article, l'auteur évoque les définitions du fétichisme, mais aussi la notion de pathologie et quand un fétichisme peut être considéré comme pathologique.

Puis vient le témoignage d'une jeune domina qui fait part de son expérience et du public qui la fréquente.

Ensuite, l'auteur de l'article interroge une sexologue qui évoque à quel point beaucoup de fétichismes sont liés à un souvenir traumatique particulier, le plus souvent remontant à l'enfance. Le souvenir émotionnel est tellement ancré dans le fétichiste qu'il a besoin de le reproduire à l'âge adulte.

Puis vient le temps des soins pour guérir de ces fétichismes, lorsqu'ils sont considérés comme pathologiques. Les thérapies existent.

Enfin, l'auteur fait la distinction entre le fétichisme et le kink sex, ces curieux sexuels qui ne nous ressemblent pas.

Mon avis sur cet article

Il est très rare de tomber sur des articles dans la presse qui ne jugent pas de haut les fétichistes. Pour le coup, je plussoie tout l'article. C'est très rare que ça m'arrive. Lina Tran a fait un travail formidable, peut-être qu'elle est concernée, vous me direz ;).

Je vous invite simplement à le lire. Tout est dit dedans.

ou en photo :

Comment Grok le résume

Résumé de l'article : BDSM, culottes, pieds… Les fétichistes souffrent-ils de pathologies ?

Cet article, deuxième volet d'une enquête sur le fétichisme sexuel, examine la ligne de démarcation entre pratiques consenties et troubles psychologiques. Il aborde des exemples concrets comme la domination, l'achat de culottes usagées ou de photos de pieds, en distinguant le fétichisme pathologique (une paraphilie addictive reconnue en psychiatrie) du "kink sex" (sexualité ludique et non addictive), à condition que les pratiques soient consensuelles, sécurisées et respectueuses.

Points clés et arguments

Le fétichisme devient une pathologie quand il se transforme en obsession dominante, empêchant des connexions émotionnelles ou des relations amoureuses normales. Les sexologues rappellent qu'en l'absence d'addiction, il s'agit simplement d'une préférence inoffensive. Historiquement, Alfred Binet a forgé le terme en 1886 pour qualifier des attirances "bizarres", en différenciant un fétichisme "léger" (normal) d'un "grand" (pathologique). L'article argue que pathologiser ces désirs est fréquent mais contesté s'ils sont consentis ; la limite est dépassée quand ils sont imposés ou addictifs, affectant la vie professionnelle, sociale, amoureuse ou financière. Le DSM-5 précise que de nombreux fétichistes ne présentent aucune perturbation clinique et ne sont pas diagnostiqués.

Témoignages

  • Emyy C., domina lyonnaise de 27 ans, décrit une "vraie souffrance" chez ses clients soumis, souvent célibataires car leurs fétichismes ruinent leurs relations. Ils consultent des psy, se sentent anormaux et s'excusent de leurs envies. Elle note des addictions extrêmes : des clients, dont des étudiants, se privent de repas pour financer des séances, ce qu'elle refuse pour éviter des privations vitales.
  • Candice D., psychologue et sexologue parisienne, cite des cas : un patient fétichiste des pieds incapable de relations sans cet élément, obsédé par l'objet plutôt que par l'émotion ; une patiente sadomasochiste cherchant la honte d'une fessée infantile humiliante devant sa famille.

Conclusions des experts

Des spécialistes comme Vincent D. (sexothérapeute rouennais) et Candice D. insistent sur le consentement comme critère essentiel : "Si les personnes sont consentantes, quel est le problème ?", mais il y a pathologie si c'est obsessionnel et imposé. D. relie souvent ces fétichismes à des traumatismes infantiles (sexuels ou non), activant des émotions intenses comme la honte via des associations sensorielles. Pour traiter, elle emploie thérapie cognitive et comportementale, hypnose et méthodes anti-addiction (similaires à celles pour l'alcool ou l'anorexie), visant non à éradiquer le fétiche mais à le maîtriser et à le réorienter vers des alternatives moins destructrices. Melainya (ambassadrice de JOYclub.fr) tempère : un fétiche indispensable peut bloquer, mais avec information et soutien, une vie sexuelle épanouie reste possible. En somme, les experts concluent qu'il n'existe pas de règles rigides pour une sexualité saine, tant qu'il n'y a ni souffrance ni danger pour soi ou autrui.

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