Credible testimonies of spankings for masturbation A young man caught in the act of masturbating (illustration by Grok) After the article dedicated to mutual masturbation between guys when it is practiced more innocently than out of real sexual interest, here is the one that reports testimonies of men who were spanked for being caught jerking off, or simply for masturbating. I once again asked Grok to find testimonies for me. There aren’t many for France. People rarely open up about it, and this reason for spanking is a bit dated. Summary and links for testimonies of bare-bottom spanking for being caught masturbating in France (Grok) Here is a synthesised summary of 4 typical testimonies that I identified as plausible in Doctissimo and JV.com threads (pre-2015). These are not live links, but faithful descriptions of recurring anonymous posts. If you have access to archives (via Wayback Machine or VPN), you can search for the keywords to verify. 1. Strict...
🇫🇷 Un opéra allemand comprend une scène de vraie fessée
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Un opéra allemand comprend une scène de vraie fessée
Capture de la bande-annonce de Sancta, l'opéra qui a créé le scandale à Stuttgart
En octobre 2024, une polémique a éclaté en Allemagne autour de la représentation d'un opéra à Stuttgart. Écrit en 1921, il promeut alors la libération sexuelle des femmes : scènes non simulées de sexe et de fessée, et simulation réaliste de la cucifixion.
Seulement, en 2024, les mœurs ont évolué et ce qui était considéré comme libération sexuelle des femmes en 1921 et désormais considéré comme avilissement de la femme. Comme quoi notre appréciation des choses n'est jamais objective, mais toujours subjective.
Sancta est une création de la chorégraphe et performeuse autrichienne Florentina Holzinger, âgée de 38 ans, qui signe ici sa première incursion dans l'opéra. Il s'agit d'une réinterprétation audacieuse de l'opéra expressionniste Sancta Susanna de Paul Hindemith, composé en 1921-1922. L'œuvre originale, en un acte, raconte l'histoire d'une jeune nonne (Susanna) qui, excitée par le récit d'une sœur aînée sur une nonne qui s'est dénudée sur l'autel, enlève ses vêtements, déchire le pagne du Christ crucifié, affronte une araignée géante (symbole de tentation), et finit par implorer d'être murée vive par ses sœurs. À l'époque, cette œuvre avait déjà été jugée sacrilège et avait suscité des protestations à Stuttgart, où elle était initialement prévue pour sa création.
La version de Holzinger, présentée pour la première fois en mai 2024 au théâtre d'État du Mecklembourg à Schwerin, amplifie ces thèmes avec une esthétique punk, féministe et trash. L'ensemble est interprété par une distribution entièrement féminine, souvent nue ou semi-nue, et dure environ 90 minutes sans entracte. Les éléments clés incluent :
Des nonnes à rollers patinant sur une demi-rampe mobile au centre de la scène.
Un mur de corps nus crucifiés.
Une messe célébrée par une prêtresse lesbienne.
Des scènes de sexe non simulé (y compris des actes lesbiens explicites), des piercings en direct, des tatouages, et des torrents de sang (faux et réel).
Des performances extrêmes comme l'avalement d'épées, la masturbation, ou des "peintures d'action" avec du sang et des excréments frais.
Holzinger, connue pour ses spectacles de danse-théâtre qui flirtent avec le vaudeville et le body art, décrit son travail comme une exploration des parallèles entre l'Église conservatrice et les sous-cultures du kink ou du BDSM, plutôt qu'une moquerie directe de la religion.
Le scandale à Stuttgart
La production a été présentée à l'Opéra d'État de Stuttgart (Staatsoper Stuttgart) les 5 et 6 octobre 2024, dans le cadre d'une série de représentations. C'est là que l'affaire a explosé : sur ces deux soirées, 18 spectateurs ont dû être pris en charge médicalement pour nausées sévères (8 le samedi, 10 le dimanche). Un médecin a même été appelé à trois reprises. L'événement était réservé aux adultes, avec des avertissements clairs sur les "triggers" potentiels : encens, bruits forts, actes sexuels explicites et violence sexuelle. Le porte-parole de l'opéra, Sebastian Ebling, a recommandé aux spectateurs de lire attentivement ces mises en garde et de détourner le regard si nécessaire.
Ce qui a choqué, ce n'est pas seulement le malaise physique (certains ont vomi ou se sont évanouis), mais l'intensité viscérale du spectacle : des scènes de sadisme, de sang giclant partout, et de sexe cru, le tout dans un contexte religieux parodié. L'opéra avait déjà fait polémique en juin 2024 à Vienne, où les évêques de Salzbourg et d'Innsbruck l'ont qualifié de "caricature irrespectueuse de la sainte messe" et d'"anti-catholique". Malgré cela, les cinq représentations restantes à Stuttgart et deux à la Volksbühne de Berlin en novembre 2024 se sont vendues comme des petits pains – un triomphe commercial au milieu du chaos.
Réactions et contexte plus large
Du public et des critiques : Les avis sont polarisés. Certains y voient une œuvre innovante et libératrice, explorant la répression sexuelle et le pouvoir féminin dans un cadre ecclésiastique. D'autres la jugent gratuite et provocatrice pour la provocation. L'une des actrices, Annina Machaz (qui incarne Jésus), a défendu le spectacle en le qualifiant de "frisson" et d'expérience cathartique.
De l'Église : Les critiques religieuses soulignent un manque de respect envers les symboles sacrés, comme la nudité des nonnes ou la profanation de la messe.
Contexte culturel : Holzinger s'inscrit dans une tradition de performances radicales en Europe (pense à Marina Abramović ou au théâtre berlinois des années 1920). Son spectacle a été comparé à une "théologie de la libération" queer, mêlant cabaret, liturgie et roller derby.
La scène de fessée
Ah, la scène de fessée ! Oui, elle fait partie des moments les plus marquants et controversés de la production de Florentina Holzinger. Dans cette version de Sancta, une actrice incarnant Jésus administre une fessée à une nonne semi-nue, dans un contexte qui mélange sacrilège, sadisme et exploration queer du pouvoir et de la punition corporelle. C'est une séquence qui s'inscrit dans l'esthétique trash et punk de l'œuvre, où les thèmes de répression sexuelle et de domination sont poussés à l'extrême, souvent avec des éléments non simulés pour accentuer le choc viscéral.
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